mercredi 26 décembre 2012

jeudi 15 novembre 2012

Beaujolais Nouveau



Le troisième jeudi du mois de novembre doit-on toujours se poser la question de savoir quel goût a le Beaujolais d’une année sur l’autre ? Banane, bonbon anglais, fruits rouges… Il en faut pour tous les goûts. L’essentiel se trouve ailleurs. Car c’est avant tout un moment de convivialité où d’ailleurs tout le monde n’en boit pas ! Le plaisir est dans l’opportunité de partager un moment agréable à grignoter et boire entre amis. On a troqué les rollers contre un verre et une assiette et la bouteille d’eau est remplacée par une bouteille de Beaujolais, de soda ou de jus de fruit.

D’une année sur l’autre cet « événement » prend de plus en plus d’ampleur et cela nous oblige à trouver un local toujours plus spacieux pour nous accueillir. Après avoir commencé à le faire autour d’une table, nous avons du migre dans un vestiaire maintenant trop petit nous obligeant à nous replier dans le local à matériel ! Mais comme on dit, peut importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, l’essentiel est de pouvoir être ensemble, peu importe le décor !


Cette année encore chacun avait ramené de quoi grignoter. Pour le salé nous avions le choix entre les terrines de gibier, des charcuteries diverses et variées, caviar d’aubergine, petits fours salés, cakes salés, quiches au saumon, aux lardons, plateau de fromages et roue de brie ! Quant au sucré, les desserts avaient évidemment la part belle ! Il a été possible de tester plusieurs gâteaux au chocolat tous plus bons les uns que les autres.



Les discussions allaient bon train et le temps a finalement passé trop vite. Comme toujours dans ces moments là. Enfin, de manière à effacer les excès de cette soirée il faudra rouler un peu plus vite ou un peu plus longtemps lors de la prochaine séance d’entraînement !



vendredi 2 novembre 2012

Stage de perfectionnement roller


22 !


C’est le nombre d’enfants qui ont pu participer au stage de perfectionnement d’une semaine pendant les vacances de la Toussaint. Et nous ne comptons pas ceux ou celles que nous avons du refuser par manque de place. La formule est un succès.


La principale difficulté se trouve dans le meilleur moment auquel proposer ce stage. En effet toutes les vacances scolaires ne se ressemblent pas. Les vacances de Noël ou de Pâques ne s’y prêtent par exemple pas car beaucoup de personnes sont parties rejoindre de la famille ou lézarder au soleil ou faire du ski. C’est selon !


Il est une chose d’avoir un créneau d’une semaine pendant lequel nous disposerons du gymnase ET pendant lequel nous aurons un moniteur disponible. Encore faut-il trouver suffisamment d’enfants intéressés pour cette semaine là ! Il n’est pas évident de remplir le « quota » avec les enfants du club c’est pourquoi nous élargissons aux enfants des membres du club. Ils ne sont pas forcément inscrits pour la saison sportive mais la plupart ont été membres du club les années précédentes.


Et puis il y a aussi les copains ou les copines, les cousins ou les cousines ! Une fois toutes ces conditions remplies il ne reste plus qu’à demander et réclamer les éléments qui permettront de constituer le dossier d’inscription, souscrire les assurances, confirmer auprès de la mairie… de manière à ce que tout soit prêt pour commencer dans de bonnes conditions.



Je vous ai fait part de ma vision en tant qu’organisateur, et des difficultés (relatives) que cela peut représenter, mais il ne faut pas oublier l’essentiel : c’est que les enfants puissent pratiquer et se perfectionner dans le sport qui les intéresse. Et là l’objectif est atteint. Il n’est qu’à voir les mines réjouies de chacun !


Merci à la maman de Valentin pour les photos (ici !).

lundi 29 octobre 2012

24 heures du Mans Roller 2013

Save the date !


Et il va falloir commencer les entraînements un peu plus tôt !

jeudi 25 octobre 2012

Bilan intermédiaire

Cela fait 7 semaines que les cours ont repris et il est possible de faire un premier bilan de cette nouvelle saison roller.


En nombre total d’inscriptions l’année est bonne et nous devrions rentrer dans nos frais. Mais si l’on regarde dans le détail ce n’est plus tout à fait aussi évident. L’activité « Adultes » surperforme alors que les « Enfants » sont en perte de vitesse. Est-ce un signe du vieillissement de la population ? Est-ce un effet secondaire des Jeux Olympiques qui ont détourné les enfants vers des activités sportives plus médiatisées ? Si cette tendance s’accentue l’année prochaine alors il faudra trouver un moyen de l’inverser.

D’un autre côté le stage que nous avons organisé pendant les vacances scolaires de la Toussaint se jouera à guichet fermé. Nous avons même du refuser plusieurs enfants. Une analyse pourrait être réalisée afin de voir d’une année sur l’autre quelles sont les personnes qui n’ont pas renouvelé leur inscription et essayer d’en tirer une conclusion. Mais bon… Cela ne nous apporterait pas grand-chose. Il serait mieux de récupérer les sentiments de chacun en fin de saison pour savoir ce que nous avons réussi et quels sont les points sur lesquels nous pourrions nous améliorer. A ce sujet n’hésitez pas tout au long de l’année à nous faire part de vos remarques et critiques constructives ! N’oubliez pas que c’est votre club !



En ce qui concerne les sorties, 30 personnes ont pu participer à la rando autour du lac du Der, ce qui n’est pas rien ! Les 6 heures de Chartres sous la pluie se sont courues avec dix personnes et trois équipes (quatre + quatre + deux).

Nous avons failli participer à la 5ème ART d’Argenteuil qui malheureusement pour les organisateurs, a du être annulée à cause de la chaussée glissante. Une prochaine édition devrait être organisée à un moment plus propice de l’année et sur un parcours plus plat !

Du côté des enfants je n’ai pas les moyens ni le temps de suivre ce qui se passe comme je peux le faire pour les adultes. Cela dit je sais comme pour les adultes que les cours sont suivis assidument. Souhaitons que cette situation se maintienne d’ici et après les vacances de Noël, période propice au relâchement.



Concernant les formalités administratives il manque encore (et toujours) quelques certificats médicaux, photos et autres règlements. Mais nous sommes sur la bonne voie. Merci d’y penser fin de me permettre de passer à autre chose !

Quelques licences ont été prises auprès de la FFRS, plus de 120 personnes sont d’ores et déjà assurées et des enveloppes timbrées à votre adresse sont prêtes à être communiquées à la VSOP Omnisports qui devrait vous convoquer à son Assemblée Générale Annuelle sous peu.

dimanche 14 octobre 2012

6 heures de Chartres - Les résultats

Voici les résultats de chacune des équipes engagées dans cette mémorable course de 6 heures sous la pluie ! Vous pourrez reconnaître les noms de chacun, le nombre de tours parcourus, le meilleur temps, la moyenne, le classement dans la catégorie, le classement général...

Bonne lecture !

Ozoir 1



Ozoir 2
Il se peut qu'il y ait eu des échanges de puces et de dossards, et les intéressés devraient s'y retrouver !



Ozoir Duo



... et bien sûr Sylvoutch !


6 heures de Chartres (suite)

C’est le moment aussi de distribuer les puces, les dossards, les épingles de sûreté, de changer la configuration des équipes pour en avoir deux de quatre personnes et nos pas une de cinq et une de trois. On s’y perd un peu dans les noms, entre les Pierre qui deviennent des Chantal, c’est compliqué ! Je n’ai pas trop compris, trop occupé que j’étais à attacher mon dossard finalement sur la cuisse gauche plutôt que dans le dos.

Avec Mario nous regarderons le départ sous la tente car aucun de nous n’était prêt ! Que ce soit au bord du circuit ou sous la tente, l’ambiance est à l’opposé de la météo : elle est au beau fixe. Chaque co-équipier revenant sous la tente raconte ses émotions, ce qu’il a vécu lors du dernier tour, donne des conseils à ceux qui vont partir.



Avec la pluie la piste est très glissante. Moins cependant que la fameuse petite route qui traverse la forêt du côté du Lac du Der ! A Chartres, en ligne droite et à condition de faire attention aux endroits peints (lignes blanches ou passages protégés), il est possible de rouler assez vite finalement. Là où ça se corse, c’est dans les virages et en particulier dans les ronds-points. François peut en témoigner après sa chute dans le premier rond-point justement. Quant à Mario c’est en plaçant ses rollers dans une fissure qu’il s’est retrouvé par terre ! Heureusement plus de peur que de mal et un passage par la case « ambulance » avant de repartir de plus belle ! Pierre aussi a fini dans le décor, mais sans passer par la case ambulance. Ce jour-là les infirmiers n’ont pas chômé !

A trois équipes plus Sylvain qui tournait en Solo, avec la configuration du circuit il n’est pas rare de croiser une connaissance du club. C’est le meilleur moment pour s’encourager mutuellement. Nous en avons tous eu besoin à un moment donné. A force de rouler sous la pluie l’eau finit par s’infiltrer à travers les vêtements, quelle que soit la quantité de T-shirts que vous portez. Les chaussons des rollers sont remplis d’eau et les chaussettes sont bonnes à tordre. Une fois rentrés nous savons tous qu'une corvée de nettoyage des roulements à billes nous attend.

Cela ne nous empêche pas de garder le souvenir et de prendre une photo souvenir comme nous aimons vous les montrer !



On ne peut parler des 6 heures de Chartres sans évoquer l’abnégation des organisateurs et des bénévoles qui passèrent la journée sous la pluie à nous aider et à surveiller le bon déroulement de l’épreuve. Eux aussi ont connu la pluie et le froid mais ne pouvaient pas trop bouger de leur place. Un grand merci pour eux !

Pour conclure on peut dire qu’à condition d’être équipé il est tout à fait possible de rouler sous la pluie ! Cela dit espérons que l’année prochaine le soleil sera au rendez-vous ! Cela dit, à partir du moment où on l’a fait une fois, qu’est-ce qui empêche de recommencer ?

6 heures de Chartres 2012

Cela faisait plusieurs jours que nous consultions la météo plusieurs fois par jour et c’était chaque fois la même chose : il pleuvrait sur Chartres dimanche 14 octobre. Et pas qu’un peu. Nous avions beau multiplier les sources d’information afin de trouver le bulletin le plus optimiste auquel se raccrocher et croire, que ce soit Météo France, Météo Paris ou la Météo Agricole, en fait ils étaient tous d’accord.

Quelques uns d’entre nous avaient découvert les joies de la rando sous la pluie lors de notre déplacement sur les bords de Meuse, en se jurant que plus jamais ils ne rouleraient dans des conditions similaires. Chacun sait que les promesses sont faites pour ne pas être tenues. La preuve, ils avaient prévu de revenir !

Et donc le grand jour arrive. Un dernier coup d’œil sur la météo juste avant de partir. Il n’y aura pas de miracle. Départ dans la pluie et le brouillard, mais déjà dans la bonne humeur, en plaisantant sur ce qui nous attend. Au fur et à mesure que nous nous rapprochons du but, le brouillard se transforme en bruine, puis en crachin pour se terminer en averse. Au loin, un peu plus au nord, on peut apercevoir des coins de ciel bleu. Mais c’est plus loin…



Arrivés sur place, la première chose à laquelle nous pensons est d’installer notre barnum afin de nous protéger et protéger nos affaires. Il pleut sans discontinuer. Une pluie drue et froide, sans interruption. Heureusement que nous avons cette tente sous laquelle nous nous réfugions et qui nous permettra de garder nos affaires au sec. On sera bien contents en fin de journée d’avoir des vêtements par forcément chauds, mais secs, à enfiler. Nous avons pu récupérer des tables et des bancs afin de ne pas poser nos sacs par terre.



Il est bientôt 9h00 et le circuit sera bientôt ouvert pour les échauffements. Vu ce qu’il tombe, l’échauffement se fera au moment du départ et pas avant ! Il faut se changer et pour ça il faut le faire à onze dans un espace de cinq mètres carrés à peine, en équilibre sur un pied, sans poser les pieds par terre car le sol est trempé. Il faut aussi rechercher une barre de céréale qui bien sûr se trouve au fin fond du sac, pas celui-là bien sûr, mais l’autre, trouver sa bouteille d’eau et se préparer son cocktail de sels minéraux, enfiler son anorak pour se réchauffer, se servir un café dans un verre en plastique pour se réveiller, le tout en jetant un coup d’œil régulier sur le bord du circuit pour vérifier que son partenaire n’arrive pas !

dimanche 7 octobre 2012

Randonnée lac du Der


C’est dans la fraîcheur matinale et sous un ciel gris de fin d’averse que nous nous sommes donné rendez-vous dimanche matin sur la parking de la mairie d’Ozoir. Et c’est un convoi de plusieurs voitures qui s’est ébranlé tout doucement  à destination de Giffaumont-Champaubert traditionnel lieu de départ de la rando du lac du Der.
Au fur et à mesure que nous progressions le ciel se dégageait petit à petit, jusqu’au moment d’arriver sur place où le ciel était beaucoup plus noir et menaçant ! Heureusement un vent léger mais frais poussait les nuages dans la bonne direction pur nous laisser entrevoir de temps en temps quelques espaces de ciel bleu. Les conditions météo ne cessèrent alors de s’améliorer pour nous permettre de déjeuner puis de terminer la randonnée sous un beau ciel bleu !

Mais revenons à la balade !

C’est équipé de coupe-vents, polaires et autres vêtements chauds que nous avons pris le départ. Au fur et à mesure que nous avancions, il devint nécessaire de retirer quelques couches de vêtements car de rouler donne très vite chaud ! Il n’y a pas de difficultés majeures au départ du parcours. Nous roulons sur la digue de la retenue du lac et le revêtement est correct avec des passages plus ou moins lisses par endroits. Il faut seulement faire attention aux fissures qui ont été réparées avec un goudron plutôt caoutchouteux qui lorsqu’il fait chaud a tendance à se ramollir. Les roues s’y enfoncent légèrement et du coup on peut se sentir freiné. Il ne faisait cependant pas suffisamment chaud pour être embêté !

Le  circuit n’est pas complètement plat. Il faut bien le reconnaître. Certains passages (peu nombreux et courts) sont parfois en pente et il y a autant de montées ! Cela change évidemment du gymnase et lorsqu’on n’y est pas habitué, de prendre un peu de vitesse peut faire peur à certains d’entre nous. Mais pas tous ! Après c’est une question d’habitude et surtout de maîtrise de la vitesse et du freinage. Or force est de constater qu’il y a encore des progrès à faire, même pour certains qui sont au club depuis plusieurs années maintenant ! Je ne donnerai pas de noms mais je demanderai à Sylvain d’insister sur les différentes techniques.

C’est aussi l’utilité de ces balades que de se retrouver dans un milieu différent avec des difficultés qu’il faut pouvoir appréhender. Au bout du compte tout le monde s’en est sorti, avec plus ou moins de frayeurs, de hurlements (à ce stade on ne parle plus de cris !), mais aussi de fous rires et toujours de bonne humeur.

On reparlera longtemps de la descente dans les bois, rendue glissante au possible par la boue et la mousse. C’est vrai que ça glissait fort ! On reparlera du graton par endroit, de la montée « insurmontable » dans la forêt que tout le monde a finalement grimpé. Il y avait aussi le freinage à ne pas louper avant d’arriver au stop ou encore avant de passer en dessous de la passerelle.  Sans oublier celles qui étaient « mortes » et qu’on a retrouvé finalement tout sourire à l’arrivée !



Le bilan de cette journée est bien sûr complètement positif. Juste quelques raideurs en fin de journée, un grand bol d’air sous le soleil et un grand moment passé en groupe. Nous regretterons évidemment les neuf personnes qui pour des raisons diverses n’auront pas pris le départ ce jour-là avec nous. Nous étions tout de même trente à prendre le départ ! En espérant d’année en année être de plus en plus nombreux à partir !


Les photos


lundi 10 septembre 2012

C'est la rentrée


La cloche vient de sonner et les membres du club ont retrouvé le chemin du gymnase. Après la rentrée des classes, c’est la rentrée des clubs de sport, en particulier pour le roller !

Après une journée de folie à enregistrer des inscriptions, le temps est venu d’accueillir d’une part les « anciens », comprenez ceux ou celles qui étaient là l’année dernière, et les « nouveaux », à savoir ceux ou celles qui découvrent notre club.

Parmi eux il y en a qui chaussent des rollers pour la première fois ou pour qui il y a quelques années les rollers s’appelaient patins à roulettes ! D’autres ont déjà un petit voire un bon niveau et sont là pour se perfectionner et apprendre de nouvelles choses tellement les techniques sont nombreuses et tellement il y a de pratiques différentes.

Les inscriptions chez les adultes ont atteint un bon niveau et du côté des enfants, que ce soit le groupe du lundi (9 - 13 ans) ou celui du samedi (5 - 8 ans), il reste encore des places.
A bon entendeur...





C’est  toujours un moment agréable de retrouver des personnes que l’on n’a pas vues depuis un certain temps. Surtout s’il s’agit de personnes avec lesquelles on s’entend bien et avec lesquelles on partage un même goût ou une même passion. Du coup ce n’est pas forcément si simple ou si facile pour ceux qui débarquent de se mêler à des « groupes » déjà existants. Sans faire d’effort, car cela se fait naturellement, nous faisons ce qu’il faut pour mettre tout le monde à l’aise de manière à ce que l’intégration se passe au mieux !

Nos entraîneurs (Sylvain, Sébastien et Christophe), participent pleinement à la bonne ambiance du club, que ce soit chez les enfants comme chez les adultes.

En ce qui concerne les fournitures, elles sont en général achetées dans les jours ou les semaines qui suivent le début des cours. Par fournitures il faut comprendre les rollers, le casque et les protections. Il est possible d’obtenir des tas d’informations utiles et de conseils auprès des entraîneurs, mais aussi auprès des membres du club qui pourront faire part de leur expérience en ce domaine. A ne pas négliger ! Pendant la période intermédiaire le club peut prêter les éléments manquants.

Bonne rentrée à toutes et à tous !


samedi 8 septembre 2012

Journée Porte Ouvertes 2012


Cette année encore la Journée Portes Ouvertes des Associations s’est déroulée alors qu’il faisait un temps magnifique ! Mais bon… c’est pour la bonne cause ! On aurait préféré se prélasser dans une chaise longue à boire un cocktail frais, mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut et nous étions attendus avec impatience ce jour-là. Comme bilan de cette journée nous dirons que nous avons pu procéder à l’inscription d’une cinquantaine d’enfants et de quelques adultes. Nous en avons renseigné également un grand nombre qui passeront nous voir cette semaine afin de faire un essai et voir comment cela se passe. Nous espérons évidemment avoir au moins autant d’adhérents que les années précédentes afin de ne pas avoir de problème financier, car c’est bien là le problème ! Il nous faut un minimum d’inscrits afin de couvrir le coût des entraîneurs.

Afin d’augmenter nos possibilités, cette année avons demandé et obtenu un stand à Lésigny qui organisait le même jour le même genre d’événement. Cela nous permet d’accroître notre rayon d’action et nous ne sommes en concurrence avec personne puisqu’il n’y a pas de club de roller à Lésigny. Ce sont Jean-Louis et Thierry qui y sont allés prêcher la bonne parole.

A Ozoir nous avons pu compter sur la participation active de plusieurs « anciens et anciennes », et je les en remercie chaleureusement. Chez les femmes Nathalie N., Patricia L., Sandrine F. et chez les hommes Frédéric R., Franck-Olivier J., Minh Tri T., Alain J. Dans ce genre d’exercice j’ai toujours peur d’oublier quelqu’un… Il faut également signaler les encouragements reçus toutes celles et tous ceux venus renouveler leur inscription ou tout simplement nous dire bonjour en passant !



Il faut en effet pouvoir faire face à des demandes multiples qui sont faites massivement en début de matinée. Bien avant l’ouverture des portes, une foule compacte est déjà rassemblée et attend patiemment de pouvoir se précipiter et en finir rapidement ! Il faut trouver la bonne activité et certaines activités sont obligées d’avoir des quotas. Les premiers arrivés sont les premiers servis. Dans la journée il y a ensuite un petit creux entre 12h30 et 14h00 environ, au moment du déjeuner et après la sieste. Puisqu’on parle du déjeuner, il faut noter que cette année les deux sandwiches offerts par stand par la VSOP étaient minuscules et sans goût. Pas même une boisson ou une bouteille d’eau alors qu’il fait très chaud et qu’on parle pratiquement toute la journée. L’année prochaine il faudra envisager autre chose comme par exemple ramener une salade et de la boisson.

Après déjeuner donc les visiteurs reviennent progressivement tout au long de l’après-midi et l’ambiance est un peu plus détendue. Vers 17h30 on commence à regarder sa montre car il y a de moins en moins de monde et on peut commencer à ranger le stand da manière à être prêt pour le pot de l’amitié qui clôture cette journée. Il est temps de rentrer et de penser à la reprise des cours qui aura lieu le surlendemain.

Il va falloir maintenant se préoccuper des personnes dont les dossiers ne sont pas complets, et ça c’est un autre challenge !

samedi 30 juin 2012

24 heures du Mans roller 2012

Si d'une année sur l'autre l'organisation est sensiblement la même, il en va différemment des moments passés au cours de ces deux jours. Emmener une trentaine de personnes vivre cette aventure et faire en sorte que tout se passe au mieux n'est pas une mince affaire. Heureusement les anciens sont toujours disponibles pour répondre aux questions et rassurer les inquiétudes qui ne manquent pas de naître chez ceux ou celles pour lesquels il s'agit de la première participation.

Des semaines, voire des mois plus tôt il aura fallu convaincre les personnes indécises de sauter le pas. Ce n'est pas toujours évident car nous sommes à peine à la moitié de la saison sportive et beaucoup encore ne se sentent pas forcément prêts. On peut les comprendre, mais il ne faut pas non plus sous estimer le potentiel de progression de chacun et relativiser la difficulté de l'épreuve, qui en est certainement une, mais pas insurmontable.

Vient donc le moment de décider du nombre d'équipes à inscrire. Il sera nécessaire de procéder à plusieurs sondages pour s'assurer que les candidats seront bien disponibles aux dates fixées. Le fait de devoir s'absenter pendant deux jours est un obstacle supplémentaire qui peut poser des problèmes au niveau de l'environnement familial : enfants à gérer, événements familiaux du genre mariage, communion…

C'est à ce moment là en général que ceux qui n'ont encore jamais participé et qui hésitent mettent en avant l'argument du boulet : "je ne veux pas venir car je ne veux pas être le boulet, je n'ai pas envie de ralentir les autres…". Tous les ans ce sont les mêmes remarques et tous les ans nous apportons la même réponse qui met fin à ce type d'argument. Nous inscrivons plusieurs équipes, ce qui nous permet de constituer des équipes de plusieurs niveaux.

Effectivement nous avons une équipe qui court pour la performance et qui roulera le plus vite possible. Mais nous inscrivons aussi une équipe qui intègrera des coéquipiers qui souhaitent rouler aussi à un bon rythme. Enfin nous inscrivons une équipe pour les personnes qui roulent moins vite et qui n'ont pas envie de subir la pression des autres. Chacun y va à son rythme. Nous demandons seulement à chacun de participer à l'épreuve jusqu'au bout en respectant l'esprit d'équipe, en rappelant que l'abandon en cours d'épreuve des uns reporte la difficulté de la course sur un nombre restreint de personnes.

Une fois les équipes constituées encore faut-il les inscrire. Il faut réclamer un certain nombre de documents (copie de carte d'identité, de carte vitale, de certificat médical ou de licence, coordonnées personnelles, taille de t-shirt…). Cela peut paraître simple et en fait ça l'est complètement ! La difficulté vient seulement de la lenteur et de la légèreté avec laquelle ces données nous seront communiquées (cartes d'identité périmées, copie recto mais pas verso, changement d'adresse non fait…). En général les derniers éléments arrivent juste à la date limite. Pourquoi essayer de faire les choses plus tôt ?

Il faudra aussi gérer les abandons de dernière minute pour blessure, événement imprévu… Heureusement qu'à l'inverse des vocations naissent tardivement pour remplacer ceux qui nous font faux bond, ou que nous pouvons faire appel à des candidats extérieurs au club pour compléter les équipes.

Les inscriptions enfin enregistrées, le plus dur est fait. Enfin presque car il faudra résoudre alors le problème du transport. La mairie nous prête deux minibus pouvant transporter neuf personnes, mais nous sommes 30 et nous emmenons autant de paires de rollers, de casques et protections, de fauteuils, tentes, matelas et sacs de couchage, d'affaires de toilette, de boissons et de nourriture pour deux jours !

Cette année Armindo est venu avec une camionnette dans laquelle nous avons pu loger trois personnes et la plus grande partie de notre barda, Franck-Olivier avait son monospace pour sept, Pascaline emmenait sa famille, Didier nous rejoindrait plus tard et nous devions retrouver sur place Nathalie, Eric, Durel, Joël et Freddy !

L'heure et le lieu de rendez-vous avaient été communiqués à chacun, ainsi qu'une liste des choses à emporter. Il ne restait plus qu'à préparer son sac de voyage, préparer sa salade de pâtes et régler son réveil !

Le lendemain matin, à peine réveillé, on a juste le temps de se précipiter sous la douche, d'avaler son petit déjeuner et de se rendre au point de rendez-vous avec toutes ses affaires. Quelques personnes sont déjà là à croire qu'elles y ont passé la nuit ou bien qu'elles n'ont pas fermé l'oeil de la nuit à cause de l'énervement ou de l'angoisse !

Ce sont les grandes retrouvailles, comme si on ne s'était pas vu depuis des années. Les visages sont encore endormis mais la bonne humeur est déjà là. Cette année encore la météo est avec nous et à part une averse prévue en début d'après-midi, elles devrait se maintenir au beau pendant deux jours ! Etant donné le printemps pluvieux et le début d'été catastrophique que nous avons connu, on peut s'estimer plutôt chanceux !

On se compte, on se recompte, on charge les affaires et on se répartit dans les véhicules pour partir au signal donné. Le convoi s'ébranle tout doucement et ne s'arrêtera qu'après le péage au Mans, arrêt pipi oblige. Pendant le trajet certains en profiteront pour terminer leur nuit pendant que d'autres discuteront de façon animée.

Arrivés à destination il faut maintenant décharger le matériel et l'acheminer jusqu'à l'entrée des paddocks. Nous avons prévu d'emmener des diables afin de faciliter le transport car le chemin à parcourir est long ! C'est aussi le moment d'aller récupérer les dossards, les puces électroniques, mais aussi et surtout donner tous les éléments si durement collectés. Les organisateurs ne laissent rien au hasard et vérifient tout méticuleusement. J'avais pris la peine de vérifier et vérifier encore et encore pour être sûr de ne rien avoir oublié !

L'accès aux paddocks ne se fait qu'à partir de 13h00, heure à laquelle reviennent ceux qui ont participé à la balade. Cette année Pascaline avait décidé de le faire avec ses enfants. La balade est aussi un moyen de procéder à la reconnaissance du circuit et de mieux en appréhender les difficultés. Ceux qui ne souhaitent pas rouler peuvent se reposer, commencer à déjeuner ou se promener dans le village composé de tentes dans lesquelles se vendent tout ce qu'il faut pour faire du roller.

Lorsque les portes d'accès aux paddock s'ouvrent enfin, c'est la ruée ! Il faut se précipiter pour prendre les meilleures places. En ce qui nous concerne, nous visons celles le long du grillage afin de pouvoir y accrocher les diables qui se transforment alors en étagères lesquelles nous entasserons les sacs de couchage, et autres tentes. L'espace est réduit dans les paddocks et il faut optimiser le rangement. Nos années de pratique nous sont très utiles dans ce cas là !

Nous empiétons même sur l'extérieur puisque cette année nous avons pu utiliser notre barnum de trois mètres sur trois, maintenu au sol par quatre pieds en béton qu'il aura fallu acheminer jusque là. Nous avions aussi cette année un vélo pour faire des allers et retours plus rapides jusqu'aux véhicules garés à l'extérieur ! On n'arrête pas le progrès. Du côté de l'équipement, nous avions 3 tables de camping dont deux sur lesquelles étaient posées les cafetière, bouilloire, théière. Remercions Pascaline qui nous avait équipé en électro-ménager et Chantal qui nous avait approvisionnés en café! C'est important car comment imaginer de rechausser les rolliers à 7h00 du matin, après une nuit courte et pas forcément reposante, sans avoir pris un petit café bien chaud ?

Enfin il faut aussi penser à reprendre des forces tout en se faisant plaisir. Cette année encore nous avons pu bénéficier du soutien à distance de l'épouse de Pierre et de ses fameux cookies et de celle d'Olivier avec ses pâtisseries variées : gâteau aux carambars, gâteaux aux abricots et si je ne me trompe pas il y en avait un troisième au chocolat !

Une fois installés, il reste tout de même pour chaque équipe à désigner la personne qui se chargera de qualifier son équipe, celle qui prendra le départ, déterminer l'ordre de passage et régler les détails pour la nuit.

La qualification sert à positionner sur la grille de départ celui qui aura été désigné pour prendra le départ. C'est une course sur plusieurs centaines de mètres, avec un départ arrêté. Une dizaine de concurrents s'élancent en même temps et il s'agit de rouer le plus vite possible pour parcourir la distance en un minimum de temps. Le temps réalisé déterminera ensuite la position sur la grille de départ. Il faut ménager son effort de manière à ne pas s'effondrer avant l'arrivée ! Le circuit monte légèrement et en plus il y avait beaucoup de vent cette année.

Cette formalité accomplie a le mérite de fixer une position qui évoluera pendant la course et qui servira de point de repère. Chacun y va de son commentaire quant aux possibilités de progression qu'aura chaque équipe.

Vient ensuite le moment du départ. Il est donné selon le traditionnel départ des courses de voitures, à savoir les rollers d'un côté de la piste et les coureurs pieds nus de l'autre côté. Ceux qui ne prennent pas le départ ont rejoint les tribunes qui sont à ce moment là complètement remplies ! L'excitation est à son comble, les hauts parleurs diffusent de la musique sensée mettre un peu plus de pression et rendre ce moment encore plus grandiose, et le décompte peut commencer.

A 16h00 pile les concurrents s'élancent sous les sirènes, les cris et les encouragements de leurs supporteurs. Ils chaussent leurs rollers et s'élancent pour accomplir les premiers tours. Si certains sont capables de démarrer en moins d'une minute, pour d'autres ça sera plus long et c'est tout juste si les plus rapides achèvent leur premier tour alors que les plus lents se sont à peine élancés !

Après le passage du premier tour il est temps de retourner au paddock et le coéquipier devant prendre le relais doit déjà se préparer à prendre la suite. Pour les équipes d'Ozoir, selon les capacités de chacun, il peut se passer entre neuf et vingt minutes entre deux relais. A noter que cette année le record du tour était de 5'51" pour un tour de circuit qui fait 4,2 km. Autrement dit, l'élite du roller met presque une minute dans la vue au kilomètre aux plus rapides d'entre nous… C'est énorme !

Et ce que nous attendions et redoutions le plus finit par arriver ! Entre le deuxième et le troisième tour une énorme averse vient rincer le circuit. Elle ne durera pas longtemps mais déversera des trombes d'eau sur le circuit le rendant très glissant, surtout pour les roues les plus dures. Dans la montée vers la roue Dunlop les poussées ne doivent pas être trop prononcées au risque de faire un grand écart facial auquel nous ne sommes pas forcément prêts ! Il n'empêche que l'on sent les roues déraper en fin de poussée et que l'équilibre s'en retrouve plutôt mal assuré. Le freinage dans la descente s'annonce complètement inopérant. Il permet seulement de ne pas prendre de vitesse mais ne permet pas de ralentir pour deux sous. Les deux virages en bas des premières descentes se feront à la limite du dérapage incontrôlé ! Pas de chute à ce moment là en ce qui nous concerne mais de belles frayeurs tout de même. Heureusement l'averse aura été de courte durée et le vent qui souffle très fort aura vite fait de sécher la piste. Les tours suivants s'effectueront dans de bien meilleurs conditions !

Ensuite tout se passe très vite. Les relais s'enchainent toutes les 90 minutes environ, voire un peu plus pour l'équipe la moins rapide, laissant tout de même le temps de déchausser ses rollers, de faire sécher son t-shirt, de boire et manger un peu, de se reposer, de discuter ou de jeter un coup d'oeil au tableau d'affichage qui indique le nombre de tours effectués par chaque équipe et qui donne son classement en temps réel. Il y a tout de même 620 dossards cette année !

Le retour de coéquipiers entraine les mêmes gestes d'un tour à l'autre : on décroche la puce et on la passe au suivant qui s'équipe et va rejoindre sa zone moquette en attendant d prendre le relais. Il faut quelques instants avant d'avoir repris son souffle. On boit un peu, on se change, on grignote et on raconte ses exploits : les difficultés dans la montée, comment on a pris la descente, comment on s'est accroché à un train, comment on a souffert du vent en fin de parcours…

Puis vient le moment de passer la nuit. On divise les équipes en deux parties. Pendant que la moitié ira dormir, l'autre moitié continuera à tourner, en enchainant des relais deux fois plus souvent. C'est le moment où la nuit est la plus fraîche. Cette année elle sera particulièrement froide. Attendre en t-shirt en plein vent sur la zone moquette alors qu'il fait nuit et que la fatigue se fait sentir est un véritable supplice ! La délivrance vient au moment où l'on s'élance à nouveau et que l'on se réchauffe en roulant. La cadence empêche de se déchausser entre deux tours et on a juste le temps de reprendre des forces et de faire attention à ne pas trop se refroidir.

Pour ceux qui s'arrêtent il n'y a pas de temps à perdre. Il faut récupérer ses affaires de toilette, se précipiter vers la douche et aller au plus vite se coucher car la nuit ne durera en tout et pour tout que quatre heures ! Compte tenu du temps passé sous la douche et celui consacré le matin à se remettre sur pieds, ou plutôt sur rollers, petit déjeuner compris, en fait on n peu dormir que 3 heures, à condition de pouvoir s'endormir rapidement. Ceci explique les coups de barre ou les coups de mou qu'on connaîtra en cours de journée, après avoir mangé, ou lorsque le soleil commencera à nous réchauffer. Dans ces moment là on pourra voir les gens s'endormir n'importe où, n'importe quand, n'importe comment, à n'importe quel endroit !

C'est en roulant à trois heures du matin ou en chaussant ses rollers à quatre heures du matin qu'on se posera à un moment ou à un autre la question de savoir ce qu'on fait là ! C'est un peu la folie ou la magie de cet instant qu'on partage tous ensemble et que chacun vit à sa façon.

Si du côté de la météo nous avons connu probablement la pire des années, cette année aura été plus confortable que les années précédentes. En effet il restait sur le site un certain nombre de tentes si grandes que nous avons pu y installer les nôtres pour être à l'abri, et plutôt éloignés de l'agitation et du remue-ménage permanent des paddocks.

Parmi les anecdotes que j'aurai relevées, la plus mémorable pour moi sera les deux tours effectués par Patricia P. alors que c'était sa première participation aux 24 heures et son premier tour de circuit ! Elle avait participé le week-end précédent à la sortie autour des lacs de la forêt d'Orient, du côté de Troyes et aura finalement bien supporté cette rude épreuve ! Thierry aura le droit aussi de faire deux tours et Freddy a eu chaud ! Olivier aura eu moins de chance en tombant et en s'ouvrant l'arcade sourcilière avec ses lunettes. Au total quelques petits égratignures et quelques strips pour maintenir la plaie plus ou moins fermée.

N'oublions pas de remercier Franck, le mari de Pascaline qui aura passé son week-end à nous encourager et à nous prendre tous en photos ! Espérons que Maximilien et Coralie auront passé un bon week-end et qu'ils rêvent encore d'avoir l'âge minimum pour participer. Après Arthur il y a deux ans, c'était au tour de Marc de tenir le rôle du "mineur" parmi les inscrits. Les enfants mineurs (je ne sais plus si c'est 14 ou 16 ans) peuvent participer mais n'ont pas le droit de rouler entre 22h00 et 6h00 du matin ! Y en aura-t-il l'année prochaine ?

Il faudra parfois plusieurs jours pour revenir sur terre, pour non pas oublier, mais se détacher un peu de ce moment fort en émotions et intense d'un point de vue sportif, qui aura focalisé notre attention et notre énergie. On sera fier d'avoir réalisé un exploit personnel. On se sera prouvé qu'on était capable de le faire et on sera allé jusqu'au bout, soutenus et encouragés par ses coéquipiers.

Diaporama n°1
Diaporama n°2

samedi 19 mai 2012

Retour sur les 6 heures Carole 2011

En relisant le compte-rendu de l'année dernière, on peut constater que l'équipe arrivée première cette année a fait un tour de plus que celle de l'année dernière (73 au lieu de 72), que l'équipe du club arrivée seconde a fait deux tours de plus (59 tours au lieu de 57) et que Julien en solo a réalisé cinq tours de plus qu'en 2011 (55 au lieu de 50) !

Encore bravo à tous et rendez-vous l'année prochaine pour essayer de faire aussi bien, si ce n'est mieux !

dimanche 13 mai 2012

6 heures Carole 2012


La première grosse sortie de l’année pour le club s’est très bien déroulée.
Au cas où vous auriez oublié, le club avait inscrit 6 équipes de 5 personnes ! Malheureusement Annelise, Nathalie K. et Jean-Louis ne purent être de cette magnifique journée.
Annelise et Nathalie étant dans la même équipe, il fallut procéder à un petit ajustement pour ne pas laisser Aurore M., Michelle et Sandrine trop seules d’autant que c’était leur première participation à ce type d’épreuve, voire pour certaines leur première sortie avec le club.
C’est François qui fut désigné pour venir renforcer cette équipe et du coup assurer la parité ! Du côté de l’équipe de Jean-Louis, le passage de 5 à 4 ne poserait pas de problème pour ses vaillants équipiers.





Plantons tout d’abord le décor : temps plutôt frais le matin, mais promesse d’une journée ensoleillée. Rendez-vous avait été donné sur le parking de la mairie d’Ozoir et c’est une fois Marc L. (enfin) arrivé que la caravane put partir, direction le mythique Circuit Carole. Arrivés sans encombres sur place, l’expérience des années précédentes nous permit de récupérer en deux temps trois mouvements les dossards, puces électroniques mais aussi les barres de céréales, compotes de fruits et autres boissons énergisantes ainsi qu’une gourde  cette année.







Les voitures furent vidées de la quantité impressionnante de matériel que nous avions emmené pour la journée, à savoir un barnum, des tables et des chaises pour 30 personnes, sans compter les rollers, la nourriture et les boissons !
Le temps de s’équiper et c’est déjà l’heure d’aller au briefing, d’expliquer les règles à ceux ou celles dont c’est la première participation, à s’échauffer et de prendre connaissance du circuit. Le soleil est certes là, mais le vent aussi, et comme tous les ans il souffle de face dans le faux-plat !







A part François parti dès le premier tour inaugurer l'antenne médical de la Croix Rouge après une chute dans le deuxième virage du premier tour, tout se passa de la meilleure façon qu'on puisse imaginer. Félicitations en particulier aux personnes dont se fut la première participation : Armindo, Aurore, Corinne, Cyril, Élodie, Cathie, Michelle, Minh Tri, Myriam, Pascaline, Patricia L., Patricia P., Sandrine et Thierry, soit plus de la moitié des effectifs !







Je n'ai pas tout suivi, mais j'ai tout de même remarqué que Patricia P. s'est sentie pousser des ailes après un changement de roues, qu'Armindo n'en pouvait plus mais a tenue le coup jusqu'au bout, que Nathalie N. a fait les derniers tours pour son équipe dont l'ultime qui restera probablement gravé dans sa mémoire, que Pascaline sent le potentiel qui lui reste à exploiter, que Sandrine a fini par comprendre avant la fin de la course comment se passer les puces, qu'Élodie a pris un coup de soleil sur le nez...

Au final chacun aura passé une journée mémorable, alternant tours de circuit et repos dans le camp de base, que ce soit dans des fauteuils ou des chaises longues.







Voici le résultat de cette excellente journée :

Equipe Ozoir 1 - 73 tours - 06:04:39.84 – 15ème au général – 6ème dans la catégorie
Equipe Ozoir 2 - 59 tours - 06:09:00.27 – 102ème au général – 28ème dans la catégorie
Equipe Ozoir 3 - 52 tours - 06:03:27.01 – 154ème au général – 45ème dans la catégorie
Equipe Ozoir 6 - 50 tours - 06:04:48.90 – 167ème au général – 25ème dans la catégorie
Equipe Ozoir 5 - 50 tours - 06:04:52.02 – 168ème au général – 50ème dans la catégorie
(Eh oui ! Pour 4 petites secondes mais Nathalie N. n'en pouvait plus à l'issue de la course !)
Equipe Ozoir 4 - 48 tours - 06:09:00.86 – 180ème au général – 54ème dans la catégorie

Vous aimez les chiffres ? Au total cela représente 332 tours et une distance de 682,26 km !
Regrettera-t-on le fait de savoir que si Ozoir 1 avait couru en catégorie Club, ils seraient montés sur le podium pour une 3ème place ?








A noter les nombreux supporters qui nous accompagnèrent tout au long de cette journée : la famille F., la famille I., l’autre famille I., la famille J., la famille P. mais aussi le conjoint de Patricia L., sans oublier Annelise, eh oui, qui est venue nous encourager !

Au niveau des encouragements, saluons au passage les excellents gâteaux préparés comme tous les ans par Fabienne C. : les célèbres gâteaux aux carambars, aux ananas et une nouveauté aux kiwis. Il y avait aussi des crêpes, un gâteau aux abricots et un autre aux pruneaux, bref tout ce qu'il faut pour tenir le rythme.








N'oublions pas Sylvain qui termine tout de même 1er dans la catégorie Solo et Julien qui dans cette même catégorie a effectué 55 tour cette année !

Rendez-vous l'année prochaine donc, en espérant en convaincre d'autres encore de nous accompagner.